Ma souriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !
Ce blog s'endort. Plus de billets, plus de commentaires, normal. Je ne vais pas vous parler des souris que j'ai du exterminer avec un produit rose à la délicate fragrance de vanille..., mais coagulant et létal après quelques jours (d'agonie je suppose). A mon coeur défendant, j'ai posé ces petites pochettes odorantes sur les étagères installées sous la mezzanine où je suis supposée dormir. Or j'ai le sommeil léger, voire inexistant (sauf les pauses coma indispensables à ma survie). Donc, toutes les nuits, j'entendais "crrr... crrr... crr..." sous mon lit, même si un plancher de pin sépare la réserve à grain de mon matelas de crin. Voilà donc un matin, en partant rejoindre mon lieu de travail très peu rémunéré, j'ai failli trébucher sur une chose ombrageuse posée là sur l'escalier. La chance étant de mon côté (cette fois-ci), j'ai évité de justesse d'écraser la grossière poussière noire agglutinée là dans le coin (mon labrador s'épilant sans épilation est noir) sous mes pas légers.
Bon, le soir, rentrant de mon travail très peu rémunéré, j'ai croisé cette ombre, qui, l'éclat du jour aidant, a révélé le cadavre d'une souris. Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!
Celà étant, la taille de ma souris imaginaire n'avait rien à faire avec la vraie petite minuscule souris. Bon quand-même, comment évacuer ce cadavre alors qu'on est phobique ?
A suivre...
Et j'attends vos conseils